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Jeudi 18 février 1915

Des soldats amènent du mobilier Nuit relativement calme, marquée par quelques fusillades. La canonnade reste intermittente au cours de la journée. L’animation en ville est réduite, car de nombreux soldats sont toujours au front. Cependant, dans la soirée, des renforts arrivent, redonnant un semblant de mouvement aux rues désertes. Madame Desmedt, revenue de Courtrai, obtient […]

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Mercredi 17 février 1915

La population cominoise doit être aidée La nuit dernière a été particulièrement calme, sans fusillade ni canonnade. Cependant, dans la matinée, un nouveau combat d’artillerie s’est engagé dans la direction de Warneton et Hollebeke, s’intensifiant progressivement jusqu’à devenir très violent dans l’après-midi. Les derniers habitants de Warneton sont encouragés à quitter la ville. Beaucoup se

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Mardi 16 février 1915

La peur de périr au fort de Bondues La nuit dernière a été marquée par une fusillade et une canonnade terribles, qui se sont progressivement apaisées au matin, jusqu’à cesser complètement dans l’après-midi. Le temps magnifique incite à sortir. Partout, on ne croise que des soldats : à pied, à cheval, à vélo, en voiture.

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Lundi 15 février 1915

Ypres bombardée. La pluie tombe sans discontinuer, ajoutant à la misère ambiante. Six soldats anglais blessés arrivent à Comines. Cantonnés à Voormezele, ils ont combattu à la baïonnette à Saint-Éloi, où les troupes françaises ont cédé leur position aux Britanniques. À Ypres, les bombardements se poursuivent avec une intensité effrayante, atteignant près de dix obus

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Dimanche 14 février 1915

Récit d’un sous lieutenant français Les messes sont célébrées à la chapelle comme le dimanche précédent. À 11h30, une vive alerte secoue la ville : un mouvement précipité de troupes se met en place alors que le canon tonne avec une rare intensité, sans interruption, en direction de Messines-Hollebeke-Zandvoorde. La ville se vide presque entièrement

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Samedi 13 février 1915

Enterrement des victimes des bombardements à Ypres Dans la journée, le canon tonne avec intensité, laissant présager un combat d’artillerie en cours. Le temps reste pluvieux, et la Lys déborde une fois de plus, compliquant les déplacements et aggravant les conditions de vie. En soirée, un concert et une parade sont organisés à 21h30, offrant

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Vendredi 12 février 1915

Rations de pain en baisse Un peu de fusillade durant la nuit, mais aucun tir de canon. Après six jours sous le feu, les soldats du 17e reviennent passer l’après-midi dans la cour de la brasserie Dumortier, visiblement éprouvés par les combats. À Comines France, les autorités annoncent une nouvelle baisse des rations de pain

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Jeudi 11 février 1915

Des dizaines de victimes à Ypres On entend peu le canon aujourd’hui. Hier soir, vers 20h, une alerte a retenti : le clairon a sonné, et tous les hommes sont partis en marche. Pourtant, ils sont revenus peu après, sans incident notable. Hier, Ten-Brielen a été durement touché par les obus, principalement l’église et l’école.

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Mercredi 10 février 1915

Le Polygone. Les derniers habitants de Warneton évacuant vers Comines arrivent avec l’aide des soldats, qui parviennent parfois à transporter quelques meubles. Mais ils restent une infime minorité : la plupart doivent tout abandonner sur place. L’inquiétude grandit chaque jour face au danger imminent. Que va-t-on devenir ? À la grâce de Dieu ! L’école

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Mardi 9 février 1915

Saint Omer un hôpital de fortune Le temps est aujourd’hui épouvantable, si bien qu’aucun concert n’a lieu. La fusillade continue de se faire fortement entendre la nuit, particulièrement vers Quesnoy-Warneton, tandis que la canonnade demeure intermittente durant la journée. Sur la ligne Hollebeke-Zandvoorde-Cruyseecke, le silence règne depuis une quinzaine de jours. Est-ce la réalité ou

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