Jeudi 9 décembre 1915
Une seconde contribution. Le canon gronde toujours la nuit, sans surprise. On finit par s’y habituer et l’on respire un peu, puisqu’aucun obus ne tombe plus dans les environs. À la brasserie Dumortier, les soldats démontent leurs foudres, transportés vers la gare : tout indique un départ imminent. Il ne reste sur place qu’un cuisinier […]
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