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Dimanche 10 janvier 1915

Les Allemands prépareraient une grande offensive vers Calais Le combat se poursuit et s’intensifie. Les eaux montent rapidement. À Comines, les cafés prospèrent. Les Cominois jouent aux cartes tandis que les Allemands restent à l’écart, regroupés au comptoir ou autour d’une table. Le très sérieux journal anglais The Times rapporte que, compte tenu des mouvements […]

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Samedi 9 janvier 1915

Faire preuve d’astuce pour se déplacer Le temps reste pluvieux, et les eaux de la Lys montent fortement. Le canon tonne, et les fusillades se poursuivent avec intensité. L’eau monte si haut que les soldats de la compagnie C des Essex doivent se maintenir au flanc des parapets au Gheer. Le commandant von Faber souhaite

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Vendredi 8 janvier 1915

L’épidémie de typhus prend de l’ampleur La pluie continue de tomber sur Comines, inondant les grands prés. Des concerts ont lieu presque tous les jours. Le typhus se propage, et la crainte d’une épidémie grandit. À Ypres, de plus en plus de malades atteints de typhus doivent être isolés, ce qui nécessite beaucoup de place.

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Jeudi 7 janvier 1915

Des cas de typhus La journée ressemble à la veille. Le cuivre est confisqué dans les usines de Comines. À 8 h du matin, le prince Rupprecht de Bavière passe ses troupes en revue sur la Grand-Place de Comines-France. La cour de la brasserie Dumortier sert de caserne : cent cinquante soldats y effectuent des

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Mercredi 6 janvier 1915

Récit apocalyptique d’un infirmier allemand Le canon tonne toujours violemment, et de grands mouvements de troupes se succèdent. Le régiment bavarois R.I.R. n° 8 mentionne dans son historique que la fête du roi de Bavière est marquée par des offices catholique et protestant, célébrés sur la place de Comines-France. L’église, utilisée comme ambulance depuis fin

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Mardi 5 janvier 1915

L’hôtel de ville de Warneton n’est plus Un nouveau combat commence : la fusillade s’intensifie vers Wytschaete-Hollebeke, et le canon tonne toute la nuit. Le typhus se propage rapidement. Les maisons contaminées sont surveillées par des sentinelles, et l’autorité allemande envoie certains malades à Lille. Dans la cour de la brasserie Dumortier, environ 150 soldats

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Lundi 4 janvier 1915

Les hôpitaux manquent de tout Le canon tonne avec encore plus d’intensité. L’après-midi, la cour de la brasserie Dumortier se transforme en caserne où les soldats s’exercent et où se déroulent les distributions postales. La salle de soins Saint-Chrysole accueille un sergent-major alsacien, ingénieur de métier. Il parle parfaitement français et se montre très amical

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Dimanche 3 janvier 1915

Messe du dimanche dans la cave. a fusillade reprend assez vive pendant la nuit, et le canon gronde à nouveau dans la journée. Les messes continuent à être célébrées à la chapelle. Comme les dimanches précédents, une procession se forme pour aller chercher de la bière à la brasserie et des liqueurs au bureau de

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