Encore et encore

Comme la veille, les troupes allemandes arrivent en grand nombre à Comines.

Les bombardements se poursuivent. Cette nuit, l’usine de Jean-Baptiste d’Ennetières a brûlé pendant cinq heures après avoir été touchée.

A l’arrière plan, l’ancienne usine d’Ennetières – Fonds SHCWR

La Ville s’organise pour le ravitaillement. Grâce au Comité hispano-américain, les habitants peuvent acheter à prix raisonnables du lard fumé, des langues salées, de la margarine, des pois, des haricots, du lait condensé, des tomates et des pommes de terre.

Mais comme plus aucun passeport n’est délivré, il devient difficile de se procurer certains vivres. Pour transporter les farines de la Ville, un soldat accompagne désormais chaque camion.

Sources :

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