éphéméride

Mercredi 4 novembre 1914

Un français du midi blessé Dès 6 h 30, deux cuisines s’installent dans la brasserie Dumortier. Les voitures sont déplacées pour laisser la place aux chevaux, car l’écurie est bondée. Les soldats allemands viennent en file chercher et manger leur ration. Le soir, les cuisines partent, mais les soldats restent loger. À l’église, on trouve […]

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Mardi 3 novembre 1914

La messe est en allemand La journée s’annonce calme, bien que le canon gronde au loin dès le matin. Des aéroplanes circulent avec des signaux, et un ballon captif est visible vers Comines France. Par moments, des troupes passent, et les greniers ainsi que les écuries sont envahis de soldats allemands. Pour la première fois,

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Lundi 2 novembre 1914

Jours des morts. La misère règne dans toute la ville. Dès 4 h, la canonnade reprend vers Warneton et Ypres, et le régiment bavarois Kgl.Bay. 22 I.R prend Wytschaete. Très tôt, des aéroplanes sont en vol, sous le feu des tirs antiaériens. À 10 h, le général français d’Urbal lance une contre-attaque pour reprendre du

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Dimanche 1 novembre 1914

La Turquie entre en guerre aux côtés des Empires centraux A l’aube, la ville de Comines subit une atmosphère saturée de tension et d’angoisse, tandis que les troupes et les chariots défilent sans relâche, empêchant toute tranquillité. Dès 4 heures, le bruit du canon retentit du côté de Warneton, marquant le début d’une journée sanglante.

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Samedi 31 octobre 1914

Visite du Kaizer La veille de la Toussaint 1914 à Comines s’accompagne d’une tension intense. La ville est envahie par un flot continu de soldats allemands, alors que la population locale se retrouve sans farine ni viande, rendant la situation difficile. Les bâtiments, dont l’ambulance des sœurs d’Orléans, sont rapidement réquisitionnés. Malgré leurs protestations, la

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Vendredi 30 octobre 1914

Hollebeke tombe Vers 7 h, les officiers allemands de Comines se mettent en route pour leurs opérations. À 9 h, un chariot et un cheval sont réquisitionnés pour collecter de la paille destinée aux blessés se trouvant dans plusieurs endroits, dont la nouvelle église de Comines, en Belgique, celle de Comines, en France, ainsi qu’au

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Jeudi 29 octobre 1914

Tout s’accélère. À Comines, dès 6 h 30, une vive canonnade et des fusillades retentissent du côté de Ten-Brielen et Wervicq, accompagnées de survols d’aéroplanes dès le matin. Vers 16 h, la canonnade reste intense dans cette direction, tandis que de nombreuses troupes traversent la ville toute la soirée, jusque tard dans la nuit. À

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Mercredi 28 octobre 1914

Renforts français sur l’Yser. La nuit a été relativement calme, bien que ponctuée de fusillades et du bruit du canon. Dès 7 h 30 du matin, un aéroplane survole la zone, et des tirs sont dirigés contre lui. L’écurie de la brasserie Dumortier est continuellement remplie de chevaux, tandis que des réquisitions de vin se

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Mardi 27 octobre 1914

Des travailleurs réquisitionnés Les prisonniers civils de Ten-Brielen, qui ont été emmenés à Wervik hier, sont maintenant conduits à Lille, sous la menace d’y être fusillés. Ils sont enfermés dans la citadelle, où ils passeront cinq longues journées, terrifiés. Chaque jour, ils ne reçoivent qu’un morceau de pain et de l’eau, mais personne n’a réellement

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Lundi 26 octobre 1914

Repoussé à Kruiseek La matinée à Comines est calme. Le canon gronde toujours, tantôt vers Warneton, tantôt vers Ten-Brielen et Cruyseecke. Des aéroplanes survolent continuellement la ville, et les Allemands leur tirent dessus. Des décharges tombent même sur la toiture des maisons. Les Allemands se lancent à nouveau à l’assaut de Ten-Brielen. Les Scots Guards

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