Mouvements de troupes françaises

Le 9e Corps français du général Dubois, présent dans la région depuis octobre 1914, se retire en autocar, tandis que de nouvelles troupes françaises arrivent à pied en chantant dans les rues de Poperinghe.

À Comines, les Allemands enterrent leurs morts durant la nuit, et ils sont nombreux. En ville, des simulacres de canons sont déplacés pour tromper l’ennemi. Deux bataillons traversent la ville en direction du front, musique en tête.
Sur le front, les forces alliées s’emparent de l’éperon sud de Notre-Dame-de-Lorette, entre Arras et La Bassée.